La femme adultère, justice ou grâce !

Il y a une troublante ambiguïté dans ces deux mots : justice ou grâce, loi ou miséricorde, or, voici selon ce récit-type d’une question-piège, question au demeurant malicieuse afin de se servir de la loi implacable dans le but d’appliquer la rigueur la plus sévère à l’encontre du fautif, Jésus va répondre avec la plus embarrassante et pertinente des réparties le couperet tombe ! « Que celui qui est sans péché jette la première pierre .. En une fraction de seconde tous les assistants de la scène tournent le dos, confondus d’être celui qui portera la main à la pierre assassine. A la femme infidèle Jésus déclare  » je ne te condamne pas »,. ! Cependant Jésus a trouvé ce tour de force d’absoudre sans condamner. Certes la justice et sa valeur sont ici rappelée mais en suspendant l’exécution du jugement par la supériorité infinie de la grâce miséricordieuse. (Jacques 2/12)