Cette simple méditation oppose deux antagonismes :
L’incrédulité humaine qui prend ici l’image de la sécheresse morale, du désert où quiconque s’y aventure est réduit à l’errance et à la stérilité spirituelle… quête sans fin d’un hypothétique bonheur ou, la confiance en Dieu présentée comme une source de bénédiction semblable à la fraîcheur d’un courant d’eau qui abreuve un arbre au feuillage verdoyant et aux fruits abondants.
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